19€
Comment découvrir la gastronomie provençale la plus authentique ?
En faisant appel aux poètes qui ont célébré les plats régionaux dans leurs œuvres, et ils sont nombreux…
Ce livre nous invite à la redécouverte d’un phénomène littéraire : sous l’effet des mouvements régionalistes et plus particulièrement du Félibrige, les auteurs de langue d’Oc au tournant du XXe siècle ont multiplié les célébrations des plats emblématiques de la région dans lesquels ils voyaient un élément majeur de leur identité.
Cet ouvrage rassemble un corpus exceptionnel de 200 poèmes sur les spécialités culinaires de la Provence et du Comté de Nice. Souvent des recettes en vers, mais aussi des chansons, des évocations de repas festifs, et parfois de purs dithyrambes…
Aïoli et bouillabaisse tiennent le haut de l’affiche, mais vous y rencontrerez, de l’aigo-boulido au thon mariné en passant par la limassade et la salade fère, toute la gamme des préparations gourmandes de chez nous.
Les textes sont précédés (en français) d’une histoire de chaque plat traditionnel et accompagnés de judicieux conseils pour les cuisiniers d’aujourd’hui en quête d’authenticité.
Ce livre nous invite à la redécouverte d’un phénomène littéraire : sous l’effet des mouvements régionalistes et plus particulièrement du Félibrige, les auteurs de langue d’Oc au tournant du XXe siècle ont multiplié les célébrations des plats emblématiques de la région dans lesquels ils voyaient un élément majeur de leur identité.
Cet ouvrage rassemble un corpus exceptionnel de 200 poèmes sur les spécialités culinaires de la Provence et du Comté de Nice. Souvent des recettes en vers, mais aussi des chansons, des évocations de repas festifs, et parfois de purs dithyrambes…
Aïoli et bouillabaisse tiennent le haut de l’affiche, mais vous y rencontrerez, de l’aigo-boulido au thon mariné en passant par la limassade et la salade fère, toute la gamme des préparations gourmandes de chez nous.
Les textes sont précédés (en français) d’une histoire de chaque plat traditionnel et accompagnés de judicieux conseils pour les cuisiniers d’aujourd’hui en quête d’authenticité.
Albert Giraud est professeur de lettres honoraire; il a enseigné dans plusieurs lycées avant d’entamer une seconde carrière dans l’enseignement de la communication auprès des personnels du ministère de la Défense.
Mais descendant d’une longue lignée de paysans provençaux, il a consacré une grande partie de son temps à la gestion de la propriété agricole et forestière léguée par sa famille. D’où son engagement pour la défense des forêts méditerranéennes et la sauvegarde des paysages ruraux (des activités qui lui ont valu le titre de chevalier du mérite agricole). Attaché à ce monde rural provençal et à sa langue, « apprise à la bastide », il a poursuivi à l’Université de Provence une spécialisation en linguistique et en histoire.
C’est de cet héritage que sont nées de nombreuses études sur l’histoire des communautés provençales d’ancien régime, les rites de la religion populaire, les traditions festives, les fêtes de Noël, les activités agricoles, et découlant de celles-ci, les pratiques alimentaires (en particulier une étude remarquée sur « l’aventure de la ratatouille » !).
Pour lui, à l’évidence il ne peut y avoir de culture provençale sans la langue et la littérature provençales, à la fois un héritage commun, une source pour le chercheur et un trésor patrimonial à préserver.
Mais descendant d’une longue lignée de paysans provençaux, il a consacré une grande partie de son temps à la gestion de la propriété agricole et forestière léguée par sa famille. D’où son engagement pour la défense des forêts méditerranéennes et la sauvegarde des paysages ruraux (des activités qui lui ont valu le titre de chevalier du mérite agricole). Attaché à ce monde rural provençal et à sa langue, « apprise à la bastide », il a poursuivi à l’Université de Provence une spécialisation en linguistique et en histoire.
C’est de cet héritage que sont nées de nombreuses études sur l’histoire des communautés provençales d’ancien régime, les rites de la religion populaire, les traditions festives, les fêtes de Noël, les activités agricoles, et découlant de celles-ci, les pratiques alimentaires (en particulier une étude remarquée sur « l’aventure de la ratatouille » !).
Pour lui, à l’évidence il ne peut y avoir de culture provençale sans la langue et la littérature provençales, à la fois un héritage commun, une source pour le chercheur et un trésor patrimonial à préserver.