Il s’acharna à peindre, jour et nuit, produisant une œuvre immense en quelques années. Il s’acharna dans une lutte féroce contre lui-même, réglée d’un coup de rasoir – Vincent, l’homme à l’oreille coupée – et finalement d’une balle dans le ventre.
Il vécut enfermé, prisonnier de ses cauchemars, souffrant et gémissant. Triste, disait-il, et toujours content…
Tout est vrai dans ce récit écrit comme un film, le film de sa vie.
Vous vivez près de lui les dernières années de Van Gogh, avec ses proches, d’abord son frère Théo qui ne lui survécut pas, et ses amis, Toulouse-Lautrec, Gauguin qu’il admirait tant, et ses médecins, et le facteur, et tant de gens ordinaires passés dans l’Histoire seulement parce qu’ils le côtoyèrent. Vous partagez sa passion dévorante, ses enthousiasmes et ses délires, sa quête d’amour et son labeur.
Vous redécouvrez un homme simple et bon, assassiné par son génie.